1995
v.o.f.s.-t.a. : 1995
1994. Alors qu'il est sur le point d'abandonner son rêve de devenir cinéaste, Ricardo est choisi pour participer à l'émission « La course », une compétition envoyant huit globe-trotters en herbe à la découverte du monde. Lorsqu'il débarque au Caire, en Égypte, toutes les conditions et les malchances sont malheureusement réunies pour donner du fil à retordre à Ricardo. À la recherche d'un sujet pour une vidéo qu'il doit livrer en un temps record, le jeune homme décide de sortir de sa zone de confort, et de proposer cette fois-ci un reportage sur un enjeu beaucoup plus sérieux et délicat.
Distribution
- Jean-Carl Boucher (Ricardo)
- Sandrine Bisson (Claudette)
- Claudio Colangelo (Benito)
- Shadi Janho (Yunnis)
- Myriam Gaboury (Vicky Langlais)
- Rose Adam (Nadia)
- Mickaël Gouin (Pierre Therrien)
- Olivier Aubin (Pierre Girard)
- Francis-William Rhéaume (Jean-Michel Vidal)
- Guillaume Gauthier (François Parenteau)
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Sphère Média
distributeur
- Immina Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Quatrième volet sympathique mais inégal d'une saga autobiographique. Récit s'enlisant dans le second tiers. Réalisation efficace aux effets de manches répétitifs. J.-C. Boucher égal à lui-même.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Même si six années se sont écoulées entre la sortie de 1991 et celle de 1995, c'est avec le même bonheur qu'on retrouve l'univers drôle et attendrissant de la série de comédies autobiographiques de Ricardo Trogi.
Lire la critique complèteLa Presse
Formidable et infatigable conteur, Ricardo Trogi assure la narration, toujours aussi savoureuse et truculente, de 1995, balançant çà et là des références culturelles qui feront crouler de rire les représentants de la génération X et les spectateurs de l'époque.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Suivant à la lettre une recette qui a fait ses preuves, ce quatrième volet des aventures du cinéaste ne surprend guère. C'est, de loin, le plus faible de tous.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Mais il y a surtout Jean-Carl Boucher, l'égo de Trogi, un acteur, depuis la première trilogie, d'une présence remarquable. Il conquiert la toile grande toile blanche, se remet de toutes ses erreurs, reconquiert et revendique le rêve de réussite ; mais plus que tout, s'engage à perpétrer, même si ce n'est pas toujours clair, un Québec inclusif. Les trois parties précédentes n'ont-elles pas illustré cette notion de partage humaniste?
Lire la critique complète